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Léonard Trierweiler : « Le bonnezeaux est le vin qui m’a le plus … – Rue89

Léonard Trierweiler en tenue (Via Twitter)

Léonard Trierweiler, 17 ans, prépare un CAP cuisine à l’école Ferrandi. Il veut devenir chef et rêve d’ouvrir un restaurant. Bref entretien avec un passionné de bonne bouffe.

No Wine Is Innocent : A 17 ans, on a souvent un rapport un peu brut ou grossier à l’alcool. En tant qu’apprenti-cuisinier, est-ce que tu aimes le vin, est-ce que tu le connais ?

Léonard Trierweiler : Depuis que je suis enfant, j’ai une passion pour le vin, le bon vin, suivie d’une extrême admiration pour les viticulteurs de talent.

J’ai pris l’habitude de choisir des vins qui pourraient accompagner mes plats. Je commence aussi à constituer ma cave.

Tu peux me citer quelques-unes des bouteilles qu’elle contient ou des vins qui t’ont marqué ?

D’abord, 21 bouteilles de bonnezeaux 1997. Mon père me les a offertes, elles sont de mon année de naissance. J’ai aussi un margaux, un saint-émilion 98 et quelques autres…

Mais le bonnezeaux est le vin qui m’a le plus marqué. Avec mon père, nous changeons les bouchons régulièrement, et elles sont dans de très belles bouteilles comme on n’en trouve plus aujourd’hui.

D’où te vient ta passion précoce pour la cuisine ?

J’étais au collège. Après avoir fait le pitre en classe, la directrice m’a puni en me faisant travailler une semaine à la cantine. Evidemment, ça n’a rien à voir avec un restaurant, mais j’ai ressenti quelque chose de fort !

Peu après, j’ai donc décidé d’effectuer un stage en cuisine, qui m’a vraiment plu. Puis j’ai recommencé, recommencé et recommencé, jusqu’à ce que je quitte le collège en classe de quatrième pour faire un pré-apprentissage à Ferrandi.

Et tes parents t’ont laissé faire ?

Mes parents étaient soucieux, évidemment, à l’idée que je lâche l’école pour la cuisine. Mais ils m’ont laissé prendre ma décision, en m’encourageant, en m’accompagnant dans mon choix.

Et puis je me souviens que lorsque j’étais petit, mon père nous faisait souvent à manger, et plutôt bien. Il m’a d’une certaine façon transmis sa passion, sa patience, son savoir-faire. Avec ma mère, je faisais de la pâtisserie.

Tu voudrais ouvrir ton propre restaurant un jour ?

J’ai encore beaucoup de choses à apprendre mais, oui, plus tard je m’imagine être chef, avoir mon restaurant. Et même si je n’ai aucune idée pour le moment du genre de cuisine que j’y proposerai, ni du lieu, il m’arrive d’en rêver la nuit.

Et que penses-tu de la série « Chefs », diffusée sur France 2 ?

J’ai regardé la série, je la trouve bien. Elle représente pour moi la vie d’un cuisinier, mais romancée, évidemment. J’aime aussi la passion pour le métier qu’on peut ressentir à travers certains acteurs, comme le chef ou la chef de partie.

Tu n’es pas toi-même tenté de postuler à un télé-crochet, type « Master chef » ou « Top chef », sachant qu’avec ton nom, tu serais sans doute immédiatement retenu ?

Je ne souhaite pas faire de télé pour le moment, et certainement pas si c’est simplement pour mon nom. J’ai d’ailleurs refusé de participer à « Objectif Top Chef » cette année.

Tu as été remarqué sur Twitter, notamment pour tes clashs avec Louis Sarkozy. Après vous être tant chamaillés, vous allez finir potes ?

Je ne pense pas, mais on ne sait jamais.

Tu es clairement doué avec Twitter ; est-ce que tu donnes des conseils à ta mère sur cet outil ?

Ma mère n’a pas besoin de conseil concernant Twitter ; en revanche, en cuisine, un peu !

Source Article from http://blogs.rue89.nouvelobs.com/no-wine-is-innocent/2015/03/14/leonard-trierweiler-le-bonnezeaux-est-le-vin-qui-ma-le-plus-marque-234280
Source : Gros plan – Google Actualités

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